« Nous avons commencé les programmes de sensibilisation sur les questions de genre en 2008, afin d'atteindre spécifiquement les personnes affectées par les violences sexuelles et à caractère sexiste qui auraient été massivement commises pendant le conflit dans le nord de l'Ouganda », rappelle Maria du bureau de pays de la Cour. En raison du manque d'éducation et d'autres facteurs socioculturels, de nombreuses personnes n'avaient qu’un accès limité à des informations utiles sur les travaux de la Cour, en particulier celles pertinentes pour les victimes directes de viol, d'esclavage sexuel, d'enlèvement et de torture.